8, le grand 8

Je me souviens de ces manèges appelés le Grand 8, où j’aimais dès 10 ans, ressentir les soubresauts du wagon et la peur me faisait rire. J’aime toujours les sourires et les galopades tant imaginaires que véritables.  

J’aime la vie quand elle bouge, les regards quand ils sont vifs, les chants quand ils sont turbulents, les voyages quand c’est l’hiver ici, l’été là-bas, j’aime les surprises, comme celle d’un dessin improvisé.

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